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Musiques indo-guadeloupéennes

«Les Indiens qui sont arrivés ont apporté beaucoup de choses dans leurs valises, comme des instruments de musique, comme le talom. Ils sont également venus avec le tapou, le matalon […] avec les échanges que nous avons eu avec les pays des Caraïbes [Trinité-et-Tobago] et l’Inde, d’autres instruments de musique sont entrés petit à petit comme l’harmonium [indien], la flûte, le sitar et d’autres» (Eliézère Sitcharn dans Rapport PCI Guadeloupe, p.326, île du Monde 2020)

« Le matalon, le talon, le tapou [il est fait pour appeler les divinités] sont utilisés dans les cérémonies » (Franck Lalsingué dans Rapport PCI Guadeloupe, p.326, île du Monde 2020)

«Au sein de mon association [Shakti] je forme de nombreux jeunes à la musique, au tambour, au matalon, au talon et aussi aux textes. Les textes sacrés d’un côté et les textes nadron. Je leur enseigne les chansons, les rythmes, comment faire les cérémonies » (Jérôme Nagapin dans Rapport PCI Guadeloupe, p.327, île du Monde 2020)

classificationorigines et antécédentsrégions PCIporteurs de traditionacteurs de sauvegarde
ASP [G] Musiques indo-guadeloupéennes. Domaine : Arts du spectacle. Sous-domaine : Musiques. Famille : Musiques liées au domaine SRM Spiritualité, Religion, Magie.
PCI translocal. Origine : probable Inde du Sud
Régions PCI mentionnées / repérées : TAES. Localisations mentionnées / repérées : Sans information
Les porteurs en bleu sont inscrits sur le réseau. S’inscrire.

Frank Lalsingué, Jérôme Nagapin, Annick Raghouber, Samina Virin, Vanessa Mausse

Les acteurs en bleu sont inscrits sur le réseau. S’inscrire.

Association Les Amis de l’Inde, Association Shakti, Om Shanti, Association PADMA, Groupe Nataradja LAL, Maliepou, Association Hindou Ilamaeï, Boumy Devy .