« […] le cacao était un peu à droite à gauche perdu dans les bois, il n’y a plus les infrastructures qui existaient avant, les gens vivaient dans la forêt car ils produisaient. Il est très difficile et très coûteux d’aller chercher du cacao qui est perdu en pleine forêt (…) cette vie-là n’existe plus […] » (Claude Alvado dans Rapport PCI Guadeloupe, p.439, île du Monde 2020)
«Est-ce qu’il y a des familles qui font du cacao pour eux mêmes? Oui, oui, […] vous avez un pied […] de cacao chez vous, et c’est bon, en fait. […] Mais comment vous fait le cacao?Les fruits poussent sur les branches, mais pas au bout des branches, sur le tronc. A l’intérieur de la cabosse, il y a un mucilage, à l’intérieur il y a les fèves. On fait sécher les graines, après on va les torréfier, on va les écraser, et la pâte est le cacao » (Gerard et Jeannise Beaujour dans Rapport PCI Guadeloupe, p.439, île du Monde 2020)
« On vient de lancer des ateliers dans les écoles directement [Le chocolat dans mon école] Ils vont faire le cacao : éplucher, griller, goûter le fruit […] L’atelier test, fait sur place [dans les écoles], a été fait à l’école de Bouillante, 7 – 8 ans les élèves ; on amène du matériel pour qu’ils puissent manipuler le cacao » (synthèse, Claude Alvado dansRapport PCI Guadeloupe, p.439, île du Monde 2020)
Claude Alvado, Betty Vainqueur, Gérard et Jeannise Beaujour
Maison du Cacao, RECAVACA (Réseau Caribéen pour la Valorisation du Cacao).